that's okay baby, only words bleed.

"Non." "Si." "Non." "Si." "La ferme." "Non." "Si."

Et un poing venait cogner la table chaque fois que l’un d’eux ouvrait la bouche. "T’as pas le droit de partir, Ronan. Ni de me laisser seule ici." Il souffla, levant les yeux au ciel. "C’est à 200 bornes d’ici, Ally." "Et alors ?" "Et, alors, je reviendrai vous voir très souvent." "Non." "Si." "Non, tu ne peux pas juste prendre tes clics et tes clacs et aller faire ta vie ailleurs." "Et pourquoi pas ?" "Parce que." "C’est pas un argument." "Si." "Non." "Je te déteste." "C’est faux." "Non." "Si." Il s’approcha de sa jeune sœur, qui s’effondra aussitôt dans ses bras. "C’est tellement injuste."

(...)

"Espèce de sale (…)" et les noms d’oiseaux fusèrent dans leur petit appartement irlandais.

Il l’avait fait. Au bout de six mois- ce qui, certes, était un exploit pour lui, au vu de ses relations antérieures. Il l’avait trompée et humiliée. Et, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Pour une histoire de plaisir éphémère. Une trahison qui avait finalement une saveur amère, celle du plat qui se mange froid, de la vengeance pure et dure. Parce qu’il lui était devenu insupportable de la voir briller dans les yeux des autres hommes et qu’elle avait tellement joué qu'elle avait fini par se bruler les ailes toute seule, entraînant dans sa chute leur amour qu'il commençait à croire éternel. Finalement, il lui avait rendu service. Il lui avait enfin donné une véritable raison de le quitter. N'était-ce pas ce qu'elle avait longtemps espéré ?

"Je te hais." Et pourtant, elle mentait. Parce qu’elle était folle amoureuse de lui, tout comme lui brûlait d’amour pour elle. Un sentiment qui était, pour l'un comme pour l'autre, étranger, qui avait fini par avoir raison de leur couple. Faut-il vraiment s’aimer  pour être heureux ? Ne vaut-il pas mieux se détester, pire, s’ignorer ? Être indifférent face à l’autre ? Elle claqua la porte, laissant l’état de leur appartement refléter à la perfection ce qu’était devenu leur couple : un chaos.

(...)

Le corps de la jeune femme vibrait sous ses mains, pourtant cela ne faisait aucun sens dans son esprit. Parce qu’elle n’avait ni la douceur de Poppy, ni son odeur et ni sa légèreté, et que ses lèvres n’avaient pas le goût sucré du rouge à lèvres carmin de la femme qu'il avait aimée. Alors, il se détacha d’elle, lui priant de bien vouloir se rhabiller, parce qu'elle n’était pas à la hauteur, qu'elles n’étaient pas à la hauteur de sa Poppy.

À la une de mon cœur, c’est ton nom qui fait les gros titres.

poppy  popo, pipi
j'espère être à la hauteur de tes attentes
je veux des kilos de chocolat belge

ona, tu défends le bon parti
merci pour la réservation, d'ailleurs

gale, ça me fait le même effet quand je vois le minois de la olsen

Citation :

la plus belle, c'est popo.

aujourd'hui, sur le pays, fortes chances de avec quelques éclaircies de en fin d'après-midi.

ça y est, t'es amoureuse ?

y a de l'amûr dans l'air. qui dit relation dit secrets, donc here i am pour dévoiler tous vos mystères les plus sombres. en tout cas, bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche.

ce scénario et boyd tu veux ma mouraison toi
bienvenue par ici, bon courage pour le reste de la fiche

Ce début de fiche ptn.
Et pis Boyd, ce dieu.
Tu me tues

(bienvenue quand même)

primrose, même pas peur madame la détective

jonas, et tes choix alors, on en parle ?
j'aurais pris max, si tu ne l'avais pas déjà fait

juno, je ne sais même pas quoi répondre, tellement ça me touche

merci à tous

oh, merci

t'es vraiment trop parfaite
trop gentille, trop mignonne, trop, trop... trop, quoi.
j'avais peur de ne pas être à la hauteur, alors merci